vendredi 24 juillet 2015

Chronique: Une aventure d'Astérix le Gaulois: Obélix et compagnie

Lecture 2015
Titre: Une aventure d'Astérix le Gaulois
Sous-Titre: Obélix et compagnie
Tome: 23
Genre: BD
Texte: Coscinny
Dessins: Uderzo
Éditions: Dargaud
Pages: 48



Résumé :

Puisqu’il est impossible de soumettre les Irréductibles Gaulois à la paix romaine par l’usage de la force, Caius Saugrenus, jeune conseiller de César, propose de faire d’eux des décadents, plus préoccupés par l’argent que par les combats contre les Romains.

Introductions :

Cela vous surprendra surement, mais jusqu’ici je n’avais jamais lu d’Astérix. Ça ne veut pas dire que je ne connaissais pas ce célèbre Gaulois, car plusieurs dessins animés et films ont été faits sur lui et ses compagnons, mais la BD ne m’avait pas attiré jusque là. Les raisons sont nombreuses et je ne vais pas m’épancher là-dessus, aussi, je vous propose d’attaquer le vif du sujet.

La couverture :

Elle va très bien avec le sujet de la BD et l’on sait tout de suite de quoi ça va parler.

Mon avis :

Dans cet Astérix, nous sommes plongés dans le monde capitaliste où ce qui compte c’est l’argent. J’ai eu quelques cours d’économie dans ma jeunesse et cet Astérix les vaut bien. Si vous ne savez pas comment marche notre économie, vous comprendrez tout, car cela est expliqué sans que l’on se prenne la tête avec. J’ai même trouvé cela très drôle, surtout la façon dont tout cela se termine ! C’est une bonne métaphore pour expliquer comment marche l’économie et même s’en moquer.

Conclusion :

Une lecture agréable et rapide que je ne regrette pas d’avoir fait et je découvrirai avec plaisir d’autres aventures d’Astérix le Gaulois.




jeudi 23 juillet 2015

Chronique: Dewey: Le destin extraordinaire d'un chat abandonné

Lecture 2015
Titre: Dewey
Sous-titre: Le destin extraordinaire d'un chat abandonné
Auteurs: Vicki Myron et Bret Witter
Éditions: Pocket
Pages: 310
 
 

Quatrième de couverture: 



Qui aurait pu croire que ce chaton, trouvé dans une boîte aux lettres, allait devenir la mascotte de la bibliothèque et changer la vie de toute une ville ? Et pourtant, tous les habitants de Spencer, dans l’Iowa, ont été conquis par Dewey, ce chat qui a su les comprendre, les faire sourire, leur apporter un peu de chaleur et de réconfort.
Pendant dix-neuf ans, Dewey, facétieux et unique, va attendrir tous les cœurs, même les plus durs, au point de devenir une star mondiale. Une histoire vraie, bouleversante, étonnante.


La couverture :


J’adore cette couverture qui va super bien avec le thème du livre.


Mon avis :


Comme sa couverture l’indique, c’est un livre qui parle d’un chat, un chat à l’histoire bien particulière et au destin bien particulier. Dewey a réellement existé, l’histoire qui est racontée dans ce livre est son histoire, mais aussi celle de Vicki Myron, l’auteur du livre, et de la ville d’Iowa, Spencer, aux États-Unis.
Ne vous attendez pas à être dans la tête d’un chat, car vous allez être déçu. Vicki Myron raconte l’histoire à travers elle. C’est donc comme une autobiographie qui parle d’un chat. Dewey est arrivée dans la boite à livre de la bibliothèque de Spencer quand il était encore qu’un chaton. Vicky Myron prit soin de lui ainsi que toute l’équipe et il devint le chat de la bibliothèque.
Adorant les chats et adorant les livres, j’ai adoré cette histoire, pendant ces quelques jours à lire ce roman, c’est comme si j’avais eu à nouveau un chat. J’en ai connu vraiment trois dans ma vie et Dewey m’a fait rire, car je n’ai pas pu m’empêcher de penser à eux. Mais Dewey a quelque chose de spécial qui le rend unique et qui fait que l’on rit énormément et qu’on s’attache à lui.
De plus, à des endroits dans le livre, vous avez des photos de Dewey en noir et blanc et j’ai vraiment trouvé cela fantastique. Mon seul regret est qu’elles n’aient pas été en couleur. Un deuxième plus est qu’à certaines pages vous avez des tableaux avec ce qu’aime Dewey ou pas, son emploi du temps, et c’est écrit d’une telle façon que c’est hilarant.
À travers ce livre, vous passez de la joie, à la tristesse, en passant par l’inquiétude et la colère. C’est vraiment un livre que j’ai aimé et je suis heureuse de vous dire qu’il s’agit d’un coup de cœur.



Conclusion :


Si vous aimez les chats, foncez ! Je doute que vous soyez déçu, j’ai personnellement adoré cette lecture et ne la regrette nullement. Je suis ravie d’avoir découvert ce livre.
 




dimanche 19 juillet 2015

Chronique: Harry Potter: Le grand livre des créatures

Lecture 2015
Titre: Harry Potter: Le grand livre des créatures
Éditions: Huginn&Muninn
Auteurs: Collectif
Pages: 160


Quatrième de couverture:

Détraqueurs et elfes de maison, mandragores et strangulots, sombrals et acromentules, dragons et loups-garous... nombreuses et merveilleuses sont les créatures qui peuplent l'univers fantastique de Harry Potter.
C'est toute cette incroyable ménagerie, créé par J. K. Rowling et magnifiée à l'écran, que cet ouvrage exclusif vous invite à mieux connaitre, grâce à des fiches et des informations exclusives. Avec de rares dessins préparatoires, des photos des coulisses et des secrets de tournage, ce recueil inédit est un must absolu pour les tous les fans de Poudlard.
 

La couverture :

Je la trouve vraiment magnifique.

Mon avis :

Dès que j’ai entendu parler de la sortie du livre : « Harry Potter les grands livres des créatures », je l’ai voulu et je l’ai eu comme cadeau de Noël. Comme il n’est pas très transportable, j’ai attendu l’été pour le lire et je ne le regrette pas même si quelques petits points négatifs font que ce n’est pas un coup de cœur. En effet, il y a quelques erreurs qui se sont mises dans le livre. Des citations non correctes ou plutôt dont le personnage qui dit la phrase est faux (je connais les films par cœur). Il y a aussi des choses dites sur les livres qui sont fausses.
Je vous rassure, ce n’est pas à toutes les pages, mais c’est suffisant pour moi pour empêcher ce livre d’être parmi mes meilleures lectures. C’est vraiment dommage, car les illustrations sont vraiment magnifiques et il y a une affiche avec le dessin des créatures et le nom écrit. Il y a aussi un petit fascicule du magasin vendant des hiboux sur le chemin de traverse, « Eeylops au royaume du Hibou » et j’ai trouvé cela super et je regrette qu’il n’y ait pas eu plus de goodies que ça.
On apprend également beaucoup de choses sur les tournages des films et de petites anecdotes assez marrantes y sont également.

Conclusion :

Malgré les malheureuses erreurs glissées dans ce livre, je recommande « Harry Potter : le grand livre des créatures » aux fans de la saga. Par contre, si vous n’avez pas vu les films et même pas lu les livres (vu l’erreur grossière qui s’est glissée), je vous le déconseille, car il y a énormément de spoilers et vous risquerez également de ne rien comprendre à certaines choses qui y sont dites.
Quant aux fans, cela vous donnera surement envie de revoir les films comme cela m’a donné envie.


dimanche 12 juillet 2015

Chronique: Le Joueur d'échecs

Lecture 2015
Titre: Le joueur d'échecs
Auteur: Stefan Zweig
Éditions: Le livre de Poche
Traducteurs: Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent
Genre: Roman
Pages: 125


Quatrième de couverture :

Qui est cet inconnu capable d’en remontrer au grand Czentovic, champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu’antipathique ? Peut-on le croire, quand il affirme qu’il n’a pas joué depuis plus de vingt ans ? Les circonstances dans lesquelles l’homme a acquis cette science sont terribles. Elles nous renvoient aux expérimentations nazies sur les effets de l’isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges. Une fable inquiétante, fantastique, qui, comme le dit un personnage avec une ironie douloureuse, « pourrait servir d’illustration à la charmante époque où nous vivons » 

La couverture :

Je trouve que la première de couverture illustre bien ce roman. 

Mon avis :

J’avais déjà entendu parler de ce roman lorsque la prof d’allemand que j’ai eu cette année (2014-2015) en a parlé en classe. En effet, son auteur, Stefan Zweig a écrit ses livres en allemand. Elle en a tellement bien parlé que cela m’a donné envie de le lire. Alors, maintenant, c’est chose faite et je ne regrette pas du tout ! Alors, j’ignore ce que ça donne en V.O. vu que je l’ai lu en français, mais en tous les cas, j’ai adoré cette traduction faite par Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent.
En effet, par des notes de bas de page, ils nous expliquent pourquoi et comment ils ont traduit ou pas un mot que Zweig semble avoir inventé. Je vous rassure, ils ne le font pas à chaque page et l’histoire est compréhensible sans les lire.
Bien que les deux joueurs d’échecs, Czentovic et M.B., aient certains très de caractères fort antipathiques on s’attache vite à eux. En effet, Zweig nous raconte l’histoire à travers les yeux et les oreilles d’un troisième personnage. Qui est-il ? Est-ce Zweig lui-même ? Mystère, mais cela n’a pas trop d’importance. En tout cas, j’ai adoré cette façon de raconter l’histoire et le style de l’auteur nous entraine sans qu’on s’en rendre compte dans l’histoire. Cela faisait longtemps que je n’avais plus joué aux échecs et cela m’y a fait m’y replonger ! Pour faire des pauses dans ma lecture, je jouais sur ma tablette, en toute dilettante, car j’ai perdu à chaque fois… mais à présent, j’arrive à tenir plus longtemps avant de me retrouver mat, mais cela est une autre histoire !
Tout cela pour dire que j’ai adoré l’histoire d’un bout à l’autre. C’était comme on me l’a décrit avec la touche de mystère qu’il fallait pour que je ne m’ennuie pas.

Conclusion :

C’est donc encore tout enthousiasmé de ma lecture que je vous recommande ce livre. Cependant, il réclame quelques connaissances de base : savoir qui sont Hitler, les S.S. et la Gestapo… Et savoir comment déplacer les pièces sur un échiquier et ce que veulent dire Roc, Pat, échec et le terme mat. Je pense qu’il n’y a qu’ainsi qu’on peut prendre autant plaisir à la lecture de ce livre.
C’est un livre qui parle énormément d’échecs (comme son titre l’indique). Donc, si vous aimez les échecs, foncez !