samedi 25 juin 2016

Chronique: Hate List

Lecture 2016
Titre: Hate List
Auteure: Jennifer Brown
Traductrice: Céline Alexandre
Éditions: Albin Michel
Collection wiz
Pages: 389
 
 
Quatrième de couvertures : 

« C’est moi qui ai eu l’idée de la liste. Je n’ai jamais voulu que quelqu’un meure. Est-ce qu’un jour on me pardonnera ? »
C’est ce que pense Valérie, effondrée après un drame inexplicable survenu au lycée. Son petit ami, Nick, a ouvert le feu dans la cafétéria, visant un à un tous les élèves de la liste. Cette fameuse liste qu’ils ont écrite pour s’amuser et où figurent ceux qui étaient odieux, lâches, méprisants dans l’établissement. Maintenant, ils sont blessés ou morts. Et Nick s’est suicidé, emportant son secret pour toujours. Mais Valérie elle, est toujours là, enfermée dans une bulle de questions sans réponses. Jusqu’au matin où elle se lève et quitte sa chambre pour retourner au lycée...


La couverture :

Jaime bien la couverture qui colle assez bien avec le thème sur roman tout en gardant la part de mystère de celui-ci. Cependant, je crois comprendre quil sagit de Nick et Valérie, hors, je ne les imagine pas comme cela. Dun côté, nest-ce pas la magie des fictions : laisser les lecteurs libres de leur imagination ? 


Mon avis :

Je referme à peine Hate list et je ressens encore cette sensation du devoir accompli, du soulagement davoir réussi à arriver au bout du roman (en un temps record) et en même temps cette pointe de tristesse quand on se dit : « Cest fini, je quitte les personnages pour de bon cette fois ». Hate List fait partie de ces romans que jaurais aimé plus long une fois arriver à la fin. Au début, pourtant, jai mis un petit temps à accrocher, étant déçu que Jennifer Brown ait fait le choix de démarrer lhistoire après la tuerie. Je pense que si je navais pas entendu autant de bien de ce livre, je l’aurai refermé aussi sec. Heureusement, cette déception du début est vite passée et je me suis laissée prendre au jeu. J’ai apprécié la façon dont la trame était faite. On commence une semaine ou deux semaines après la tuerie pour faire des bons dans le passé pour en apprendre plus sur Valérie et Nick. J’ai appris à les apprécier et je me suis attachée à eux. Petit à petit, on comprend pourquoi Nick en est arrivé là où il en est arrivé. Enfin, on arrive à la tuerie et on finit par rejoindre le temps du début du récit. Je trouve que cela a été très bien mené par l’auteure et je comprends mieux son choix de narration à présent. Au milieu, j’ai été très déçu à nouveau quand j’ai découvert le personnage du docteur Dentley. Je me suis dit : « Ah ! Non, elle ne m’a pas fait ça ». Je me sentais trahie par l’auteure, elle ne pouvait quand même pas avoir créé un psy aussi cliché comme se le figure la plupart des gens qui ne sont jamais allés chez un psy (englobe : psychiatre, psychothérapeute et psychologue). Un psy froid, qui n’écoute pas, bourre de médicament et ne faisant preuve d’aucune compassion. Puis, j’ai été rassuré au moment de faire la connaissance du docteur Hieler qui lui est un vrai psy, bien plus réaliste. 

Tous les personnages m’ont beaucoup touché, surtout Nick et Valérie. Nous partageons un point commun qui nous rapproche. Je ne vous en dirai pas plus, car j’en ai déjà trop dit. 



Conclusion :  

Hate list a été pour moi un coup de cœur, mais ça a été également un livre dur à lire, car il m’a rappelé de très mauvais souvenirs. Il m’a aussi aidé à faire le point du temps qui a passé, mais la peur de replonger n’est jamais loin, surtout quand je me rends en cours (d’ailleurs, au moment où je publierai cette chronique, je devrais avoir mes résultats d’examen). Replonger dans la tourmente d’autrefois que tout recommence en dix fois pire qu’avant. C’est un livre que je vous recommande. Le style de l’auteur est fluide et on se laisse vite emporter. Ce livre vous fait réfléchir à certains propos et vous fait voir que les choses ne sont jamais simples. Je pense toute foi qu’on peut éviter de réunir les facteurs qui ont conduit au drame de Hate list. Pour savoir lesquels, je vous laisse lire ce roman !


mardi 21 juin 2016

Chronique: Le Maître des livres: volume 5

Lecture 2016
Titre: Le Maître des livres
Volume: 5
Auteur: Umiharu Shinohara
Éditions: Komikku
Pages: 188


Quatrième de couverture :
La bibliothèque pour enfants « la rose trémière » pourrait se résumer par ses deux grosses personnalités : son bibliothécaire en chef bigleux à têtes de champignons, Mikoshiba, et s’approprient à terre, madame Aoi qui aurait connu, à une lointaine époque, une période de doute ! Vous suivrez donc les souvenirs de la propriétaire avant de découvrir les aventures citadines d’une petite fille, en passant par la rencontre d’un personnage ayant connu Mikoshiba durant sa période étudiante… Jamais on n’en aura autant découvert sur les personnages de cette fabuleuse histoire ! !

 


La couverture :

Est-il utile de dire qu’elle me plaît toujours autant tout en ayant chaque fois une touche de nouveauté ?

Mon avis :

Parmi tous les volumes que j’ai lu de cette série de mangas, celui-ci est celui que j’ai le moins aimé. Pourquoi ? Je pense que c’est celui qui se concentre le moins sur les personnages que j’aime, excepté Mikoshiba dont j’ai apprécié la partie qui lui est consacrée. J’adore notamment Miyamoto hors, ce dernier est absent d’une bonne partie de ce volume qui se consacre surtout sur la jeunesse de madame Aoi. Personnellement, je n’ai pas très apprécié cette partie que j’ai trouvé qu’elle trainait en longueur. Enfin, peut-être que pour les volumes suivant, ça à son importance, à voir.
Malgré cette déception, j’ai passé un bon moment avec la première partie et la dernière. Surtout la dernière où on en apprend plus sur Mikoshiba. D’ailleurs, l’histoire reste en suspend ce qui donne envie de se plonger dans le volume suivant. 

Conclusion :

J’admets que ma chronique est courte, mais je ne vois pas vraiment ce que je pourrais rajouter. Je vous recommande cette série de manga qui me fait toujours passé de bons moments et me permet d’attendre le train et le bus sans voir le temps passer. J’espère en découvrir plus sur Mikoshiba dans le volume six. En attendant, je vous souhaite à tous de bonnes lectures.