dimanche 30 mars 2014

Un jour tu oublieras ta tête

Titre: Un jour tu oublieras ta tête
Auteur: Dominique Urtizvera
Éditions: l'Éditeur
Pages: 270
Acheté à: Galerie la Fayette, Paris
Lecture 2014

Quatrième de couverture:


À la suite d'un étrange accident, Raoul se retrouve dans l'obligation de restaurer sa mémoire et de se reconstruire. Le voici confronté à son enfance que son entourage lui restitue par bribes, à sa vie qu'il trouve compliquée et parfois incohérente, au présent auquel il ne comprend pas grand-chose et à l'avenir qu'il pressent égocentrique et totalitaire. Écriture exubérante, doux délire, humour déjanté et coq-à-l'âne font de ce livre, déchirant et pourtant si drôle, un petit bijou de jubilation.

Mon avis :

 
« Un jour tu oublieras ta tête » est sans doute le livre le plus ennuyeux que j'ai lu jusqu'ici.
  Au début, c'était assez cool, je suis bien rentrée dans l'histoire. L'accident qui fait perdre la tête à Raoul et tout, et tout. Au bout d'un moment, cependant, j'ai perdu le fil, ne comprenant presque plus rien à ce que je lisais. Certains chapitres m'ont quand même fait bien rire, mais dans l'ensemble, je me suis ennuyée. L'auteur n'arrête pas de faire des flash-back, c'est ce qui rend la pose de l'histoire assez difficile. J'aime bien moi pouvoir m'arrêter au milieu d'un chapitre, mais avec ce livre c'est presque impossible. J'avoue, j'ai abandonné à la 168e page. J'ai quand même la fin intriguée tout de même par ce qui allait par ce qui allait arriver au personnage. La fin n'est pas vraiment marquante.
  Je me demande même pourquoi faire 270 pages pour en arriver simplement là. Il y a aussi des tonnes de référence culturelle que je n'ai pas saisie. Bien sûr, les petites blagues sur Sarkozy ou sur le football m'ont bien fait rire, mais ça s'arrête là. Il y a quand même un point positif, à ma lecture, j'ai apprécié la première de couverture ainsi que le titre et le résumé qui m'avait donné envie de lire le livre, bien que ça soit ma propre tête que j'ai l'impression d'avoir perdu à sa lecture. J'ai aussi apprécié certains courts chapitres qui se lisaient assez vite.

Conclusion :


Ce n'est donc pas un livre que je vous recommande à la lecture, sauf si vous êtes un puits de culture dotée d'un sens de l'humour bienvenu est d'une profonde capacité à suivre un récit raconté à la première personne du singulier. Je regrette un peu d'avoir dû abandonner cette lecture, peut-être que je la reprendrais un jour, allez savoir...

 


jeudi 27 mars 2014

Deuil interdit

Titre: Deuil interdit
Auteur: Michael Connely
Éditions: Seuils
Collection: Point
Genre: Policier
Pages: 457
Acheté à: Payot, Lausanne
Lecture 2014

 Quatrième de couverture :


Becky, une jeune fille de 16 ans, est retrouvée morte, une balle en pleine poitrine, sur une colline de Los Angeles. Il faut attendre dix-sept ans et les résultats d'une analyse ADN pour que l'affaire revienne sur le devant de la scène. L'enquête prend vite des allures de cauchemar. Drôle d'accueil pour Harry Bosch, qui réintègre le LAPD après trois ans..


Mon avis :


L'enquête met longtemps à se mettre en place. L'inspecteur Harry Bosch et sa coéquipière Kiz Rider passent beaucoup de chapitres dans des anciens rapports ainsi qu'à réinterroger les parents de la jeune Becky et ses amis. Ils interrogent également le policier chargé de l'enquête à l'époque. Ce n'est que vers le milieu du livre qu'ils tiennent enfin une piste qu'ils s'empressent de suivre.

  Malgré la lenteur de l'enquête (ce qui est normal vu que c'est une affaire classée) ce livre se lit assez facilement. En effet, que vous vous arrêtiez au milieu d'un chapitre ou entre deux chapitres et que vous laissez le livre de côté pendant un temps vous saurez où vous en êtes dans la lecture. C'est pour ça que j'apprécie le style d'auteur. Ces moments de latence et ces moments d'action arrivent à tenir en haleine le lecteur.

  Ayant lu un autre livre de Michael Connelly (Wonderland avenue), j'ai mis un peu de temps à m'attacher à la nouvelle coéquipière de l'Harry Bosch. J'avais beaucoup le personnage de Edgar (un policier travaillant à la brigade « vols et homicides »). J'ai été donc très heureuse de le retrouver, certes brièvement, à la cent dix-huitième page ainsi que vers la fin du livre. J'ai vraiment commencé à m'attacher à Kiz Rider qu'au moment où l'action a commencé.

  Le déroulement de l'enquête m'a vraiment surprise et c'est vraiment que trois pages avant les deux inspecteurs que j'ai compris qui étais l'assassin de la jeune fille. Cet élément inattendu qui est survenu ne m'a pas gêné, bien au contraire ça a donné plus de piment à l'enquête. Ce qu'imaginer c'est vraiment la toute fin du livre. Le père de Becky fait quelque chose et Michel Connelly m'a laissé sur ma faim avec ça. J'espère que dans l'ouvrage qui suit il livrera la réponse à la question que je me suis posée à la fin du livre.

 Conclusion :



Malgré la fin qui me laisse sur ma faim, j'ai adoré ce livre. On ne s'ennuie presque jamais tout au long du livre. L'auteur sait tenir ses lecteurs en haleine. Même dans les moments de pause, on continue à tourner les pages pour savoir ce qui va arriver à l'inspecteur Bosch qui semble avoir un don pour s'attirer les ennuis. Un livre que je vous recommande si vous aimez le genre policier et les affaires classées.

mercredi 26 mars 2014

Harry Potter et les Reliques de la Mort

Titre: Harry Potter
Sous titre: Et les Reliques de la Mort
Auteure: J.K. Rowling
Éditions: Gallimard
Pages: 810 pages
Offert par: Mes parents
 
 
 

Quatrième de couverture :

Et voici le septième et ultime tome de l'héroïque histoire de Harry Potter.
 
 

Mon avis :

 J'ai été un peu triste quand je me suis mise à lire ce dernier tome. J'ai grandi avec la saga Harry Potter et finir ce livre c'était comme dirait adieu à une époque qui était révolue : celle de l'enfance et presque l'adolescence. Certes ce tome répond à toutes les questions qu'on a pu se poser tout au long des six premiers tomes, cependant il m'a un peu déçu. Je ne saurais plus dire à quoi exactement je m'attendais, mais surtout pas à ça ! Difficile à dire ce qui m'a déçu sans spolier l'histoire à ceux qui ne l'ont pas encore lu. Je dirais juste que c'est le combat entre Voldemort et Harry qui m'a le plus déçu. Je m'attendais à plus d'action.
 Tout le reste du roman est assez bien ficelé et en retrouve pas mal de personnages auxquels on s'est attaché. Le roman a bien sûr des moments drôles et captivants, mais il a aussi ses moments de tristesse et pas seulement parce que Harry est triste, mais plutôt parce qu'on ne nous-mêmes attristés de ce qui arrive aux personnages.
 Toute la saga m'a bien plus malgré ses petits défauts. Harry Potter et tous les personnages ont été pour moi des compagnons de jeu. Aujourd'hui, il leur arrive quelquefois encore de se glisser dans mes rêves ou dans des histoires pour prolonger encore un peu l'aventure.
 

Conclusion :

 Une saga que je recommande à fond. Je sais que certaines personnes n'ont pas aimé cette saga. Personnellement, je dois beaucoup à son auteur, car c'est elle avec l'aide de son jeune sorcier qui m'a fait lire et aimer lire. Avant Harry Potter, lire était pour moi une corvée, quelque chose de difficile qui me donnait mal à la tête en quelques minutes. Au départ, c'était ma mère qui me lisait les tomes de l'Harry Potter, mais très rapidement j'ai les lus toutes seules et a été pour moi des moments magiques. Je dois à J.k. Rowling l'amour que je ressens pour les livres aujourd'hui.

 C'est pour ça que je défendrai cette saga coûte que coûte, malgré certains points négatifs que j'ai pu trouver dans certains tomes.

Pour conclure tout ça je dirais qu'une seule chose :

– Méfaits accomplis !
 
 



 

Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé

Titre: Harry Potter
Sous titre: Et le Prince de sang-mêlé
Auteure: J.K. Rowling
Éditions: Gallimard
Pages: 715
Offert par: Mes parents
 
 

Quatrième de couverture :


Dans un monde de plus en plus inquiétant, Harry se prépare à retrouver Ron et Hermione. Bientôt, ce sera la rentrée à Poudlard, avec les autres étudiants de sixième année. Mais pourquoi le professeur Dumbledore vient-il en personne chercher Harry chez les Dursley ?
C'est avec un mélange d'humour et d'art du suspense incomparable que J. K. Rowling révèle dans ce sixième tome l'extraordinaire complexité de l'univers qu'elle a créé, est qu'elle met en place tous les ressorts du dénouement.
 

Mon avis :

 
J'ai assez aimé ce sixième tome. Rares sont les points négatifs. Comme dans les ouvrages précédents, J. K. Rowling a su préserver le suspense du début à la fin en nous emmenant directement à l'essentiel. J'ai bien aimé cette histoire de livre des potions ayant appartenu au « Prince de Sang – Mêlé. Ensuite, j'ai un peu moins aimé cette histoire « Horcruxes » (bouts d'âmes enfermées dans quelque chose).
J'ai très aimé le professeur Dumbledore dans ce tome. Il se rapproche plus « du grand-père » que du directeur envers Harry. Ce tome répond aussi à pas mal de questions qu'on a pu se poser jusque-là.
Comme pour le tome précédent, la fin est assez sombre. Pour ceux qui n'ont pas lu l'histoire, je vous déconseille de regarder la table des matières avant d'avoir fini le livre. Je l'avais fait est ça spolié toute l'histoire.
 

Conclusion :

 
Je vous recommande donc ce tome à la suite des cinq précédents. Bien que le personnage de Sirius Black ne soit plus là, il reste très présent dans l'esprit et le cœur de Harry. Un livre très plaisant à lire. 

mardi 25 mars 2014

Harry Potter et l'Ordre du Phénix

Titre: Harry Potter
Sous Titre: Et l'Ordre du Phénix
Auteure: J.K. Rowling
Éditions: Gallimard
Pages: 976
Offert par: Mes parents
 

Quatrième de couverture :


A quinze ans, Harry s'apprête à entrer en cinquième année à Poudlard. Et s'il est heureux de retrouver le monde des sorciers, il n'a jamais été aussi anxieux. L'adolescence, la perspective des examens importants en fin d'année et ces étranges cauchemars... Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour et, plus que jamais, Harry sent peser sur lui une terrible menace. Une menace que le ministère de la Magie ne semble pas prendre au sérieux, contrairement à Dumbledore. Poudlard devient alors le terrain d'une véritable lutte de pouvoir. La résistance s'organise autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours...
D'une inventivité et d'une virtuosité rares, découvrez le cinquième tome de cette saga que son auteur a su hisser au rang de véritable phénomène littéraire.
 
Mon avis :

Dans l'ensemble j'ai adoré ce livre. Comme dans les précédents tomes, J.K. Rowling a su préserver le suspense du début à la fin. Cependant, j'ai de gros point négatif à reprocher à l'auteur (si on peut dire). Ces deux points ne tienne qu'à moi.
Le premier c'est que l'auteure va trop vite. Elle ne s'arrête que rarement sur les moments, trop rares, que Harry passe avec son parrain. Si j'ose comparer avec le film, Harry serre beaucoup moins Sirius dans ses bras que dans le film.
Le deuxième point concerne aussi le personnage de Sirius (si vous n'avez pas lu ce livre, je vous conseille de sauter ce point pour ne pas vous spolier l'histoire). C'est la mort du personnage la fin. Bien sûr pour que Harry puisse trouver la force de se débarrasser de Lord  Voldemort il ne fallait bien. Mais j'ai trouvé sa cruelle. Pour Harry bien sûr, mais aussi pour les lecteurs qui comme moi se sont attachés à Sirius. C'était mon personnage préféré dans la saga, ça l'est d'ailleurs toujours.
À l'époque où j'ai lu le roman, le côté « adolescence » de Harry ne m'avait pas du tout gênée (étant moi-même adolescente), mais maintenant que j'ai vieilli, quand je relis certains passages, cela m'énerve et j'ai envie de gifler Harry.
Je ne pensais pas ça possible avant de lire ce cinquième tome, mais il y a un personnage que je déteste plus que Rogue, il s'agit du nouveau professeur de défense contre les forces du mal. Si je la déteste, c'est pour tout ce qu'elle fait subir Harry, Ron et Hermione tout au long du récit.
Il y a un autre personnage que je déteste et qui apparaît pour la première fois dans ce tome. Il s'agit de la cousine de Sirius. La raison va avec la fin du tome.
 

Conclusion : 

 
Je vous recommande bien entendu ce tome à la suite des quatre autres qui malgré les points négatifs que j'ai pu soulever plus haut, m'a beaucoup plus. Les pages tournent très vite. À aucun moment on ne se dit : « mais quand ça va se terminer ? ». Au contraire, on aimerait que ça
ne se termine jamais (surtout l'été et Noël).
Je pense aussi dire que ce tome nous fait entrer enfin dans le « vif » du sujet (la trame de fond).
Un bon tome qui me laisse un sentiment de nostalgie à chaque fois que je repense aux moments que j'ai passés à le lire (à l'école, dans mon lit à la lumière de la langue de poche).


 
 

Écrire

Titre: Écrire
Auteur: Daniel Pennac
Éditeur: hoëbeke
pages: 63
Livre offert par: Ma tante
 

Introduction:

 
«Écrire» de Daniel Pennac, est un livre difficile à résumer. Pourquoi? Tout simplement parce qu'il ne raconte pas d'histoire. C'est vous, lecteur, qui raconterez votre histoire en observant les images. Eh oui, ce livre contient des dessins faits de la plume de Daniel Pennac.
Pour bien comprendre ce livre et pour bien interpréter les images, il faut en savoir un minimum sur la vie de Daniel Pennac, notamment sur son enfance. C'est pourquoi, au début du livre, l'auteur nous explique une partie de son enfance (celle de ses lettres qui se transforment peu à peu en bonshommes).
 

Mon avis:

 
Bien qu'il soit tout à fait possible d'admirer les dessins sans avoir lu «Chagrin d'école», pour mieux apprécier, à mon sens, ce livre, je vous conseille de lire au préalable cet essai autobiographique sur son enfance. Vous en comprendrez mieux le sens de certains médecins.
Bien que n'appréciant moins «Écrire» que les essais de Daniel Pennac, j'aime bien regarder de temps en temps les dessins et inventer des histoires avec. J'imagine que les petits personnages partent à l'aventure. J'invente pourquoi ils y vont, quels noms ils pourraient porter, s'ils ont des enfants et encore bien d'autres choses.
 

Ma conclusion:

 
Je vous conseille en particulier ce livre si, comme moi, vous admirez l'auteur. En effet, à mon sens, «Écrire» est un livre à détenir pour la collection des œuvres de cet auteur. Alors qu'il met arriver de regretter l'achat de certains livres, je ne regrette pas du tout celui-ci. 
 

Lucky Lucke: Cavalier Seul

Titre: Cavalier Seul
Série: Lucky Luke
Éditeur: Lucky Comics
Auteurs: Pennac et Benacquista d'après Morris
Dessinateur: Achdé
Pages: 46
Acheté à: Payot Lausanne

 Résumé :


Dans ce Lucky Luke, une chose qu'on n'aurait jamais pensé voir est arrivée. Les Dalton se séparent. Chacun va partir de son côté, obligeant Lucky Luke à courir partout (ou plutôt obligeant Jolly Jumper à galoper partout pour essayer de le retrouver et de le ramener en prison.

 Mon avis :

 
J'ai acheté cavalier seul dès que j'ai su que Pennac et Benacquista avaient écrit un nouveau Lucky Luke. Bien que j'aie un peu moins ri qu'avec le précédent Lucky Luke de ces deux auteurs, j'ai quand même bien apprécié ma lecture, surtout vers la fin. Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus sans spolier l'histoire.

Conclusion :

 
Je vous recommande ce Lucky Luke qui est idéal pour faire une pause entre deux romans. Il se lit vraiment très rapidement. Quelques heures suffisent!

Lucky Luck contre Pinkerton

Titre: Lucky Luck contre Pinkerton
Auteurs:  Achdé, Pennac et Benacquista
d'après Morris.
 Pages: 46
Acheté à: Payot, Lausanne

Résumé :

 
Dans ce Lucky Luke, un homme nommé Pinkerton va créer une sorte de FBI à fin d'arrêter tous les criminels du Far West. En faisant cela, il va mettre Lucky Luke à la retraite, car Pinkerton va tout faire pour arrêter les Dalton.
 
 

Mon avis :

 
J'ai acheté ce Lucky Luke parce que l'un des auteurs est Daniel Pennac que j'aime beaucoup. Et je n'ai pas été déçue de cette B.D. non seulement les bulles sont très drôles, mais en plus les dessins ne sont pas en reste ! N'aimant pas trop lire les B.D. j'ai adoré lire celle-ci. Le seul reproche que j'aurais à faire est que la police d'écriture est assez difficile à lire. Cependant, elle est comme ça dans tout le Lucky Luke. Malgré ça, je vous recommande vivement cette B.D.
 

Conclusion :

 
Il est très difficile de vous donner mon avis sans spolier l'histoire. J'espère donc que malgré ce coup ravi, vous avez pu vous faire une idée sur cette B.D.
 

dimanche 23 mars 2014

Le roman d'Ernest et Célestine

Titre: Le roman d'Ernest et Célestine
Auteur: Daniel Pennac
Éditions: Gallimard jeunesse
Collection: Casterman
Pages: 197
Acheté à: Payot, Lausanne
Lecture 2014


Quatrième de couverture :



Un ours et une souris amis ? Jamais ! Scandaleux !

Absolument interdit !
– C’est compris, Célestine ?
– Ernest, c’est compris ?
Pourtant, personne ne pourra empêcher et Célestine de devenir les meilleurs amis du monde. Personne, vous m’entendez !

Mon avis :


Que dire ? J’ai tout simplement adoré ce livre. J’ai retrouvé la plume de mon auteur préféré, à savoir Daniel Pennac. En plus de raconter l’histoire d’Ernest et Célestine, l’auteur fait intervenir non seulement le lecteur, c’est-à-dire nous, qui lisons le livre, mais aussi lui-même en tant qu’auteur également les personnages, Ernest et Célestine eux-mêmes. Cela permet de faire des pauses dans le récit, ce qui est fort agréable. Surtout, quand on a vu le film d’Ernest et Célestine avant de lire le livre. Car un peu de choses près, c’est la même histoire que l’auteur nous raconte dans le film comme dans le livre. Personnellement, cela ne m’a pas gêné. Il faut dire que j’ai lu le livre en connaissance de cause. Si l’histoire avait été complètement différente de celle du film, j’aurais été extrêmement déçue.

J’adore les personnages d’Ernest et Célestine. Je le trouve drôle, touchant, et surtout très attachant.

Le concept du mari qui vont des sucreries et de sa femme qui vend des dents de rechange dans le magasin en face m’a beaucoup fait rire. Je trouve que Daniel Pennac a eu là une chouette idée.


Encore deux points positifs : le premier est la couverture. Je trouve que ce beige va très bien avec l’histoire. Le faite d’avoir rajouté un petit feuillet devant où apparaît Daniel Pennac en photo rajouta un plus à la couverture. De plus, un ruban a été rajouté au livre pour faire office de signet comme sur les anciens livres. Cela m’a beaucoup plus. Le deuxième point positif est qu’à la fin du livre, Daniel Pennac nous raconte comment il a fait la connaissance de la créatrice d’Ernest est de Célestine : Gabrielle Vincent. J’aime beaucoup cette anecdote que l’auteur partage avec nous.



Conclusion :

Une très belle histoire que je vous recommande de lire.





P. S. J’ai lu ce livre à haute voix. Ça a tout simplement été un moment magique.