lundi 28 décembre 2015

Chronique: Le Maître des livres: Volume 4

Lecture 2015
Titre: Le Maître des livres
Volume: 4
Auteur: Umiharu Shinohara
Éditions: Komikku
Genre: Manga
Pages: 188

Quatrième de couverture:

 Sa tête ressemble à un gros champignon et a un certain succès auprès de ses usagers, malgré la crainte qu’elle génère : il s’agit bien sûr de Mikoshiba, le maître des lieux de la bibliothèque pour enfants “La rose trémière”.
Que ce soit pour de mignons élèves d’école primaire, des lycéennes inquiètes pour leur activité scolaire ou des salariés perdus dans leur choix de vie, cette bibliothèque a toujours une histoire à proposer pour répondre à leurs soucis quotidiens…




Mon avis :


Que dire de ce quatrième volume du Maître des livres ? Plus j’avance dans la saga, plus il est difficile d’en parler, sans vous spoiler les numéros précédents. Je vais donc me contenter de vous dire que celui-ci est tout aussi plaisant que les autres à lire. J’ai passé un chouette moment en sa compagnie et j’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver les personnages que j’aime déjà beaucoup.
 Cela dit, il y a quand même une légère chose négative : certaines petites histoires surtout au début du livre m’ont un peu ennuyé. Je pense que ça vient du fait que mon personnage préféré n’y figurait pas. Néanmoins, cela n’a pas duré longtemps et ça sera avec plaisir que je lirai les volumes suivants.

Conclusion :


Il y a plus de positif que de négatif pour ces mangas pour le moment, c’est pourquoi je vous les recommande, surtout si vous aimez découvrir ou redécouvrir d’autres histoires. On trouve beaucoup de référence par rapport à la littérature de nombreux pays (normale, l’intrigue se passe dans une bibliothèque, après tout).
 

samedi 26 décembre 2015

Chronique: Un scandale en Bohème

Lecture 2015
Auteur: Arthur Conan Doyle
Éditions: Omnibus
Titre livre: Les aventures de Sherlock Holmes
Titre histoire: Un scandale en Bohème 
Pages livre: 1096
Pages histoire: 44
 
 

Résumé :

Sherlock Holmes et le Docteur Watson reçoivent la visite d’un mystérieux visiteur masqué. Ce dernier charge Holmes de retrouver vers une certaine Irene Adler quelque chose qui lui est précieux.


Mon avis :  

J’avoue que je suis un peu déçu par cette nouvelle ? Ce Chapitre ? Je trouve un peu facile la façon dont Sherlock Holmes la résout. Certes, elle est bien ficelée, il y a du suspense, mais elle a tellement été reprise entre temps qu’elle laisse un air de « déjà vu ». Vous pourrez me dire que j’étais prévenu, mais là, je ne m’y attendais pas à ressentir cela à ce point. Pour le chien de Baskerville  oui, mais pas pour un scandale en bohème . Néanmoins, j’admire la façon qu’à Holmes de se déguiser et j’ai adoré la complicité qu’il s’est instaurée entre Watson et Holmes. Le personnage d’Irene Adler est vraiment tel que j’en ai entendu parlé et en cela, je ne suis pas du tout déçu… je sens que les histoires qui suivront où elle apparaîtra seront palpitantes.

Conclusion :

Ce n’est donc pas un coup de cœur pour cette histoire , mais elle reste quand même assez agréable. Courte, elle se lit rapidement et facilement. Je vous la conseille pour la lire à la suite des deux autres (une étude en rouge et le signe des quatre). Je vous déconseille de la lire en premier, vous risquez d’être perdu, car il y a quand même un fil conducteur entre les histoires.

dimanche 8 novembre 2015

Chronique: De quelques amoureux des livres...

Lecture 2015
Titre: De quelques amoureux des livres...
Auteur: Philippe Claudel
Édition: Finitude 
Genre: Essais
Pages: 120
 
 

Quatrième de couverture :

Il y a tant de raisons possibles pour qu’un livre ne voie jamais le jour, qu’il semble quasi miraculeux qu’un beau matin quelqu’un ait pris la plume et soit parvenu à en écrire un.
Avec une délicieuse fantaisie, Philippe Claudel passe en revue une litanie d' écrivains en devenir, de malheureuses victimes de la littérature, soumises à de pathétiques aléas, à des imprévus aussi cocasses que farfelus
.

Mon avis :

J’ai entendu parler de ce livre en regardant « la grande librairie » sur France 5. l’émission du jeudi 29 octobre plus précisément. Le journaliste et l’auteur en parlait tellement bien que je me suis dit : « il me le faut ». D’autant plus que le résumé de ce livre m’a fait penser à quelqu’un. Je vais d’ailleurs lui offrir ce livre à Noël. J’ai donc couru à la librairie et je l’ai acheté le jour de sa sortie (vendredi 6 novembre) et je l’ai dévoré. Ça ne m’était plus arrivé depuis plusieurs mois… (ayant fait une overdose de lecture à la fin de l’été).
Les histoires ne font rarement plus d’une page, parfois cela se résume en une phrase, mais quel régal, on en redemanderait même ! Quand j’ai fini ce livre, je me suis dit : « Quoi ? Déjà ? ». Ces histoires font rire, pleurer et réfléchir : que demander de plus `

Conclusion :

Ce livre au titre très long (toute la page) est un coup de cœur que je vous recommande vivement. Vous n’allez pas vous ennuyer ! 

dimanche 1 novembre 2015

Chronique: Quartier perdu

Titre: Quartier Perdu
Auteur: Patrick Modiano
Éditions: Gallimard
Collections: Folio
Pages: 184
(livre lu pour les cours)

 

Quatrième de couverture:

 Un dimanche de juillet, Ambrose Guise arrive à Paris. Personne. Sauf les statues. Une ville fantôme, lui semble-t-il, après un bombardement et l'exode de ses habitants. Auteur de romans policiers anglais, il vient rencontrer son éditeur japonais. Mais il va profiter de ce voyage pour élucider les mystères de son passé, du temps où il était français et s'appelait Jean Dekker, il y a vingt ans. Il fait alors surgir dans un Paris crépusculaire, halluciné, des lieux étranges : une chambre secrète rue de Courcelles, en face d'une pagode ; un grand rez-de-chaussée donnant sur un jardin, place de l'Alma. Il réveille les spectres de Georges Maillot, au volant de sa voiture blanche, de Carmen Blin, Ghita Wattier, des Hayward... Tout un quartier perdu de la mémoire est ainsi revisité, et délivre le secret de ses charmes, et de ses sortilèges.



Mon avis :



J’avais déjà entendu parler de Patrick Modiano il y a environ un an en regardant l’émission de France 5 « La grande librairie ». Le nom de l’auteur me disait donc vaguement quelques choses ainsi que le titre et pour cause, son dernier livre s’appelle « Pour que tu ne te perdes pas dans ton quartier » lorsque notre professeur nous en a parlé. J’ai donc cru au départ que c’était le même livre avant d’avoir des doutes. Passé ce moment de flottement, je me suis mise à lire le livre. En excluant le fait que je n’avais aucune envie de lire lorsque j’ai dû lire ce livre pendant mes vacances (le délai était la rentrée), j’ai passé une chouette lecture.
J’ai bien aimé le personnage de Jean Dekker, on apprend à le connaître au fur et à mesure du roman. Jean Dekker est un personnage mystérieux et bien que des questions soient élucidées à la fin du récit, de nombreuses restent et je trouve après quelques jours de réflexions que c’est ce qui fait le plus du roman : Qu’on ne soit pas à 100% satisfait. De plus, ce qui fait que je me suis attachée à ce personnage est, je pense, le fait qu’il soit écrivain. J’ai adoré ce point chez lui. George Maillot, Camren Blin, Ghita Wattier restent mystérieux et pour George Maillot, bien que j’aime sa personnalité, je ne vois pas trop ce qu’il apporte au récit. Il y a un personnage qui n’est pas cité dans le résumé, il s’agit de Daniel de Rocroy et je ne sais pas pourquoi, je l’ai adoré ! J’ai donc particulièrement apprécié la deuxième partie du roman où il est plus présent.
Concernant le décor, j’ai bien aimé redécouvrir Paris à travers ce livre et je me suis rendu compte sans trop de surprise que cette ville reste bien mystérieuse pour moi. Mais c’est normal, je n’y suis pas allée si souvent que ça. Ni habitée ni travaillée…

Conclusion : 
Une lecture agréable, pas prise de tête (sauf quand un prof de français l’analyse), il se laisse lire facilement (pour autant qu’on soit déjà un ou une lectrice régulière) que je vous conseille grandement. Ce n’est pas un coup de cœur, mais pas non plus une déception pour moi.