Chronique: Les caprices de Marianne

Lecture de cours 2016

  Titre: Les Caprices de Marianne

Auteur: Alfred de Musset

Éditions: GF Flammarion

Pages 130

 

 

Quatrième de couverture:

Dans une Naples romantique se déroule l’éternel jeu de l’amour et de la mort. Cœlio  le passionné aime Marianne sans espoir. Son ami Octave, aventurier septique, intercède en sa faveur. Marianne, fausse dévote et vraie coquette, méprise le véritable amour et s’offre à celui qui la repousse…

La couverture:

Je ne la trouve pas terrible, mais elle n’est pas moche pour autant.

Introduction:

Les Caprices de Marianne d’Alfred de Musset est une lecture imposée pour les cours.

En général, je n’aime pas trop lire du théâtre, je préfère cent fois mieux aller voir une pièce, mais là, je n’avais pas le choix. Aussi, j’ai cherché comment faire pour que ce moment soit le plus agréable pour moi et j’ai trouvé un livre audio sur internet et tout ça gratuitement. Cela m’a bien aidé et m’a permis d’apprécier ce livre. Je ne regrette pas d’avoir dû lire les caprices de Marianne même s’il me reste encore les dossiers qui accompagne la pièce à lire et ça, ça m’ennui d’avance, mais passons, car ce n’est pas le plus important !

Mon avis:

La pièce est assez surprenante. Tout d’abord, j’ai trouvé Octave très drôle, mais plus la fin approchait et plus il m’était antipathique (alors que selon le prof, ça devrait être le contraire), mais pas autant que Marianne que je ne supporte pas. Peut-être parce qu’au fond, j’aimerais bien qu’un homme m’aime comme Cœlio l’aime (même si visiblement, il se méprend sur son compte et qu’elle ne mérite pas son amour). Vu la façon dont la pièce s’enchaine, la fin ne m’a nullement déçu et m’a quelque peu attristée. Malgré cela, je ne ressens rien d’extraordinaire par rapport à cette lecture. C’est acceptable comme lecture de cours et ce n’est pas rien. À voir comment mon sentiment évolue avec l’analyse de la pièce. Pour le livre précédent, Quartier Perdu de Patrick Modiano, plus il fallait l’analyser et moins je l’appréciais. Peut-être verrais-je Marianne sous un nouveau jour ? Un jour positif, cette fois, je l’espère.

Conclusion:

À vous de voir si cette pièce vous dit ou non. Personnellement, je vous recommanderais plutôt d’aller la voir au théâtre, mais comme je n’aime pas trop lire les pièces (avec les livres audio, c’est beaucoup plus appréciable ), je ne suis pas sûre d’être très objective.