Lecture de cours, lecture 2017
Titre: Dom Juan
Auteur: Molière
Pièce de Théâtre
Pages: 158
Quatrième de couverture :
Aimer toutes les femmes, les posséder toutes, tel est le
rêve de Dom Juan. À ce jeu cruel, il consacre sa vie, allant jusqu'à tuer pour
satisfaire son désir. S'attaquant à l'aristocratie comme au peuple, à la morale
comme à la religion, sa révolte prend de la grandeur dans l'excès. On voudrait
souvent rire ; on ne le peut pas toujours ; Molière le dit bien : «Un grand
seigneur méchant homme est une terrible chose.»
La couverture :
Je la trouve assez moyenne et sans trop de rapport avec
l’histoire que raconte ce livre.
Mon avis :
Avant toutes choses, il s’agit d’une lecture de cours.
Lire des pièces de théâtre n’est toujours pas ce que je préfère
(j’aime mieux en regarder), mais j’admets que la pilule passe mieux grâce au
livre audio (acheté en téléchargement). Bon, avec ce truc, il ne faut pas faire
trop attention au porte-monnaie, car ça taxe vite. Mais cela est plus sympa et
me permet de tenir les délais imposés par la professeur (ma dyslexie faisant
que je lis plus lentement que la moyenne, je trouve des stratégies pour tenir
la cadence).
Concernant la pièce elle-même, je l’ai trouvée un peu compliquer entre
les nombreux lieux et personnages. De plus, la façon, bien particulière, dont
la paysanne et le paysan ont de parlé, j’ai trouvé bien compliqué à comprendre.
Cela dit, je crois avoir mieux saisi le sens que ceux qui se sont contentés de
lire. Je pensais trouver Dom Juan antipathique, mais ça n’a pas été le cas, car
il n’est pas aussi grossier que je me l’imaginais lorsque l’on m’en parlait. Cela
dit, je me suis attachée à Sganarelle qu’à lui. J’ai eu de la peine pour
Sganarelle à la fin alors que pour Dom Juan, ça me faisait ni chaud ni
froid. Je pense que si Dom Juan ne m’a
pas énervée est qu’il remet en question la croyance aveugle en Dieu et en
l’église. Après, nous ne partageons pas les mêmes valeurs. Néanmoins, à part
Elvire, les autres femmes qu’ils courtisent, je les trouve bien idiotes. Elles
ne comprennent même pas que Dom Juan dans l’acte 2 les manipule et leur
ment alors qu’ils parlent à l’une et l’autre quand elles sont près de lui
ensemble.
En plus de la religion et de l’amour (peut-on qualifier ça
d’amour ?), il y a le mystique. C’est imputé à Dieu, mais si l’on croit à
autre chose, on pourrait penser que c’est de la magie. Souvent, ce genre de
phénomènes, autre que dans ma saga favorite, m’énerve. Là, j’ai plutôt bien
apprécié.
Conclusion :
Nous n’avons
pas encore analysé la pièce en classe, mais j’ai plutôt bien apprécié ma
lecture. Bon, on devra apprendre une scène par cœur et savoir en faire
l’analyse, mais comme je l’ai déjà fait, ça ne me fait pas trop peur (à part
que je préfère travailler seul qu’à plusieurs.
Si vous ne
l’avez pas lu et que vous aimez les pièces de théâtre et surtout celles de
Molière, n’hésitez pas. C’est intéressant de comprendre d’où viennent certaines
choses.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire